A propos de mon pseudonyme

Publié le 11 Janvier 2010

 

Scan-Cesar-n°1

 

Cesanjjaque, quel drôle de nom, tout le monde ou presque aura compris que c'est l'anagramme du prénom du célèbre rédacteur des Confessions et de la partie Musique de l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert

Jean-Jacques → C'est Jean-JacquesCesanjjaque → un peu niaiseux et facile non, mais essayez donc vous de trouver un anagramme qui tienne la route avec 2 a, 2 e, 1 c, 1 s, 1 n, 1 "qu" et surtout 2 j dans lequel il n'y a pas «ja» et «que»? 

Et puis, pouvoir écrire enfin «jaque» sans «c» et «s» inutiles est un vrai plaisir, alors, avec le reste on fait ce qu'on peut. 

Tout ceux qui ont un prénom composé le savent, il est toujours difficile de porter une double identité. Mais avec ces deux là «Jean» et «Jacques», c'est bien pire qu'une double identité, c'est une identité multiple car des «Jean» il y en a au moins 2, le Baptiste et l'autre «celui que Jésus aimait», quand aux "Jacques" c'est comme la musique il y a  le majeur et le mineur, et tous les autres que je renonce à nommer. 

Quant à Rousseau, il ne devait pas être bien dans sa peau pour écrire vers la fin de sa vie: «Dialogue de Rousseau juge de Jean-Jacques». 

Finalement, Cesanjjaque hérite d'un prénom simple et limpide comme Pagnol et la Provence: «César».

Rédigé par César Cesanjjaque

Publié dans #Réflexions

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